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(texte : Charles Gérard – Musique : Luc Henrion)

C’est un conte d’origine Nord Américaine, un rêve qui autorise toutes les fantaisies. Tout comme « Alice au Pays des Merveilles » de Lewis Carroll, ou comme « Peter Pan » héros tiré du roman The little white bird de l’écossais James Matthew Barrier, et bien d’autres, le Magicien d’Oz nous entraîne à l’intérieur des rêves d’une petite fille, Dorothée, et nous fait suivre les méandres de son imagination.

L’idée générale a été conservée, de même que les principaux personnages. Sa soif de joie, de bonheur, d’entraide, d’amour partagé et d’insouciance aussi vont entraîner Dorothée dans une rencontre avec autant de personnages symboliques et lui faire affronter la méchante sorcière, source de tous les maux.

Elle triomphera, bien sûr. Mais cette victoire qui lui semblait inaccessible, elle la recevra elle aussi, parce qu’elle lui vient d’un autre, comme le plus beau des cadeaux.